Wylla J. Routh
Wyll ; revenge is a dish best served cold admin
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 | Sujet: a Freed contact - libre  Sam 6 Juin - 18:58 | |
| 11h32. Dimanche 2 mai. Elle commence a avoir faim.
Une femme, blonde, la trentaine, sort d'un taxi, sur une des principales artère commerçante de Chicago. Avec un profil de mannequin, des cheveux blond dorée et un regard ravageur mais détruit, on comprend que les hommes se retournent sur son côté. Toute fois, personne ne semble la remarquer, après tout, elle n'a pas, comme pourrait le laisser penser son apparence, des chaussures Prada, une robes Dior et des lunettes de soleil D&G. Elle est simplement en noir, pantalon gris/noir, pratique aussi bien pour faire les boutiques que pour une randonné en forêt, un haut beige, et une veste en cuir noir courte, qui s'arrête au niveau du nombril.
Wyll n'est pas là pour le tourisme, même si elle aurait bien voulus, non, elle est là parce que Freed lui a demander de venir, et que, de toute façon, elle devait aller a Chicago pour se venger. Alors elle est venue, compte bien écouter se que Freed, ou du moins son interlocuteur, a à lui dire, mais pense franchement a sa vengense, après tout, c'est un plat qui se mange froid non ?
Elle sort donc du taxi, tend sa monnaie au chauffeur et referme la portière légèrement. Elle tient un sac noir de voyage remplis de toute les affaires don elle pourrait avoir besoin, vêtements, chaussures de sport, armes a feu, et couteau. Après tout, elle n'est pas non plus sans ressources. En face d'elle, un Starbuck Coffee laisser s'échapper une agréable odeur de café. Sans hésiter une seconde, Wyll entra, et fait la queue comme tout le monde. Arrivé a son tour de prendre commande, elle demanda un café vanille, taille moyen, et une fois sa boisson en main, sortie dans la rue. On lui avait demander de se rendre a Chicago, sans annoncer d'adresse, et elle ne savait plus quoi faire. Elle regarda autour d'elle, bue une goute de café et commença a marcher, vers le Nord. Elle n'avais pas fait 5 minutes de marche qu'une main ferme empoigna son coude, par derrière.
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