Andrea Hernandes
© : Obsession
inscrit depuis le : 13/06/2009
âge : 20 ans
pouvoir : Aussi tranchante que du métal...
 | Sujet: Andrea Hernandes - Terminééé~~  Sam 13 Juin - 19:46 | |
| A - introduction
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— Nom; Hernandes, pour les ramollis du cerveau, c'est en effet parce qu'elle est d'origine espagnole.
— Prénom(s); Andrea, parce que en HJ c'est mon deuxième prénom.
— Date de naissance; 12 janvier, Andrea a vingt ans.
— Origines; Espagnole
— Groupe; Okay, I'm not an innocent. Car, Andrea n'est pas innocente. Ma présentation a le mérite d'être concise et directe.
— Pouvoir (s'il y a lieu); Sa peau peut devenir, au gré de ses envies, aussi tranchante que du métal. Bon, Andrea ne devient pas toute grise métallique et elle n'est pas couverte de pics tel un hérisson, c'est juste que même si on dirait pas, son petit doigt peu devenir aussi tranchant qu'un scalpel. Cependant, son corps n'est pas en métal : Il possède juste des propriétés coupantes extraordinaires et une solidité non des moindres. De plus, c'est quelque chose de fatiguant, qu'elle ne peut employer à sa guise. Plus l'ampleur de sa tâche est grande, plus elle sera rapidement hors de service.
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B - écriture
— Physique; Andrea mesure 1m68 et pèse 50 kilos. Par conséquent, elle est assez fine, mais pas frêle; rompue à l'effort et du genre à cavaler partout, la jeune fille à l'air de tout, sauf fragile. Sa peau est naturellement halée, ce qui veut juste dire qu'elle n'a pas besoin d'aller au soleil pour bronzer. Il faut dire ce qui est : Andrea est canon. Enfin, pour peu qu'elle fasse des efforts, et Andrea n'en fait pas. Donc exit le super look à la dernière mode, les cheveux impeccables, le grain de peau parfait. Alors certes il y a marqué SWEET sur l'avatar qui est lui même copieusement retouché, donc comme excuse, nous dirons que cette photo d'Andrea a été prise à un mariage par un photographe professionnel qui a jugé utile de rajouter un adjectif gneugneu sur ladite photo. Andrea porte les cheveux longs avec une frange régulière et assez épaisse. Comme tous cheveux châtains, ils s'éclaircissent légèrement avec le soleil, mais sinon la plupart du temps, ils sont foncés. Andrea a de grands yeux chocolats, encadrés par de magnifiques cernes. Andrea ne sait que très vaguement à quoi sert un fond de teint. En fait, dans la pénombre, genre au crépuscule ou au fond d'un puits, Andrea à l'air très belle. Seulement voilà, elle ne va pas souvent au fond d'un puits (quoique) donc la plupart du temps, on dirait juste qu'elle est défoncée. Tout de même, elle respecte une hygiène draconienne, et prend sa douche touuus les jours (y), et il faut reconnaitre qu' Andrea sait se coiffer.
Niveau look, Andrea n'est pas hyper super méga féminine, voire pas du tout. Elle porte souvent des marcels avec des shorts ou des jeans usés, ou bien des grandes chemises retroussées. A vrai dire, Andrea est le genre de personne qui, même habillée avec un sac, dégage tellement de charisme et de prestance, qu'on en oublie qu'un sac n'est pas fait pour s'habiller. Donc en gros, même avec un look débraillé, Andrea en jette.
— Caractère; Là, ça se gâte. On ne peut pas reconnaître de qualités vertueuses à Andrea, si ce n'est une loyauté sans failles aux causes où aux gens qu'elle soutients, pour peu que ce soit le cas. Andrea est quelqu'un de franc et direct, c'est une grande gueule, qui parle fort, et use d'un vocabulaire assez vulgaire, mais jamais pour ne rien dire. En effet, bien qu'elle soit impulsive et colérique, elle pèse chacun de ses mots et réfléchit avant de parler. Intelligente, Andrea sait avoir du verbe quand elle veut et quel comportement adopter face à telle ou telle situation. La jeune fille manque cruellement de sang froid, et vit sur des impulsions : son meilleur moteur de réflexion est l'adrénaline et le goût du défi. Andrea à le chic pour se fourrer dans des situations délicates ou embarrassantes, et cotoie régulièrement les autorités à cause de son tempérament casse-cou. En revanche, quand il n'y a rien de spécial à l'horizon, Andrea fait preuve de flegme et d'un je-m'en-foutisme assez irritant. La jeune fille n'a quasiment pas d'orgueil : Inutile d'essayer de la critiquer, elle s'en fou. A vrai dire, elle est lucide face à elle même : elle connait parfaitement ses défauts et les assumes totalement. Les humiliations, publiques ou privées, la laisse de marbre, ou contribuent simplement à la mettre en rogne. Le dernier point, et non le moindre, qui caracterise Andrea Hernandes, est son charisme. A vrai dire, derrière le mot charisme, il y a juste une façon de se tenir, une démarche, une façon de regarder les gens, et un manque total de timidité qui rend justement Andrea intimidante.
— Goûts; A vrai dire, Andrea aime peu de choses, et en déteste beaucoup. Andrea aime bien vivre au grand air, le cas échéant la rendant morose et irritable. Elle aime également parler avec les gens modestes, surtout si ils sont issus des quartiers de là où elle a grandit. A l'inverse, Andrea déteste tout ce qui ressemble de près ou de loin à de la bourgeoisie et du snobisme. Le luxe l'écoeure, autant que les gens qui font preuve d'hypocrisie, et ces deux notions sont souvent liées. La jeune fille, du genre téméraire, est toujours partante pour des missions farfelues et dangereuses, simplement pour le goût de l'adrénaline. Sinon, Andrea déteste les gens qui font preuve de suffisance et d'autorité, surtout envers elle, l'odeur de la cigarette, les grosses voitures, et les mouches qui font du bruit. On ne lui connait qu'un seul péché mignon : Les lunettes de soleil. Plus qu'habitude que réel gout pour cet accessoire, Andrea en porte souvent, moyen superficiel de rentrer dans l'anonymat. Etant facilement irritable, Andrea n'aime rien du moment qu'elle est enervée. Sinon, elle fait preuve d'indifférence face aux choses, et par conséquent n'a pas des goûts très précis.
— Histoire; L'histoire d'Andrea commence dans un bain de sang. (et là, on s'attend tous au scénario dramacatastrophique de l'enfant tourmenté. ) En effet, la jeune fille manifesta son pouvoir dès la naissance, et fut mise au monde par une mère morte suite aux immondes blessures qu'elle eut, semblables aux dégats causés par un foret de vingt centimètres de diamètre. La vie d'Andrea aurait pu s'arrêter là, sur un lit d'hopital, l'Espagne étant un pays particulièrement pieux, et les infirmières criant déjà à l'hérésie où à l'antechrist. Les médecins, déconcertés, confièrent le jeune bébé à un prêtre qui devait partir pour l'Argentine, et sonnèrent celui-ci d'emporter cette créature impie là bas, loin de la terre espagnole. Le prêtre, assez terre à terre malgré son statut, ne croyait pas que ce jeune nouveau né était un fruit de l'enfer, mais était tout de même certain que ce n'était pas un être pur qu'il pouvait élever. Aussi décida t'il d'emmener l'enfant avec lui, et de l'abandonner dès son pied posé en amérique du sud dans las favelas. Le seigneur déciderait de son sort : L'enfant serait recueillie et survivrait dans ces quartiers défavorisés, ou bien mourrait.
Cependant, ce sont les gens qui ont le moins de choses qui font le moins preuve d'indifférence et d'égoïsme : Le bébé fut recueilli et nourri, tour à tour, par les mères et les grands mères de las favelas du sud de Buenos Aires. On l'appela Andrea Hernandes, un nom et un prénom quelquonque porté par maintes jeunes filles dans ces lieux. Le bébé ne fit plus aucune démonstration de son pouvoir, et grandit pour devenir une petite fille intrépide et dégourdie, à l'instar de tous les enfants qui grandissent dans des bidonvilles.
Mais comme sa particularité était peu négligeable, elle se manifesta d'abord par le simple fait qu'Andrea savait couper des branches avec son genou comme personne. Elle coupait nettement en deux une branche épaisse comme son bras d'une simple impulsion du genou, sous l'oeil ébahit de ses camarades de jeu qui construisait ensuite des cabanes avec. Un jour, la jeune fille, intriguée, tapa avec son doigt sur son genou comme si elle voulait le couper en deux, et la collision produisit une gerbe d'étincelles. Pourtant, elle pouvait toucher des gens et des choses tout à fait naturellement, seulement, quand elle désirait couper quelque chose, elle y arrivait aussi simplement que si c'était du beurre ou une pousse de bambou encore imbibé d'eau. Par ailleurs, la jeune fille ne se blessait jamais. Quand elle tombait, trébuchait, ou se faisait corriger, elle s'en sortait sans une égratinure, et les hommes et femmes de los favelas qui avaient le malheur de la gronder avaient l'impression de taper sur du béton brûlant. Mais Andrea n'était qu'un cas spécial parmis plusieurs millions d'habitants, et on ne cherchait pas à savoir pourquoi une gamine comme elle était aussi coriace.
L'adolescence sonnant, la jeune fille découvrit et prit part aux guerres de gangs. Redoutable, elle était crainte par les gangs des quartiers ennemis, et une étrange rumeur courait sur elle, disant qu'elle coupait des doigts d'un simple revers de la main. Sa vie aurait pu continuer ainsi, entre las favelas et les gangs, sans ce funeste jour où un traqueur découvrit son existence.
Une succession de hasards et d'évenements firent qu'un jour, la jeune fille était partie sur un marché dans les quartiers de la vieille ville, à fin de voler des fruits où du poisson salé. En effet, elle était très douée pour cela : de l'index, elle coupait un trou sous l'étalage d'un marchand et prenait discrétement des provisions qui se trouvait tout en dessous de la pile. Mais ce jour là, peut être était ce parce que c'était un marchand attentif, où elle moins discrète que d'habitude, toujours est il qu'elle se fit prendre la main dans le sac, et emmenée au commissariat le plus proche. La description de l'affaire était saugrenue, car la jeune fille avait coupé dans l'étalage en bois un cercle de huit centimètres, sans l'aide d'un quelquonque outil. Ce détail attira un sergent du centre ville de Buenos Aires, qui se trouvait en réalité être un traqueur, et qui demanda à voir la jeune fille. Il ignorait cependant à quoi il s'exposait. Quand il tenta de l'endormir, seringue en main, l'aiguille de celle-ci se brisa sur le bras de la jeune fille. Comprenant qu'on lui voulait du mal, et ne mesurant pas la portée de ses actes ( Andrea avait treize ans, et pour ainsi dire aucune idée du fonctionnement de la vie à l'exterieur de las favelas) elle égorgea d'un revers de la main le traqueur, et s'enfuit en brisant les barreaux de la fenêtre d'un simple coup de pied. A compter de cet instant, Andrea compris qu'elle avait brisé son enfance aussi brutalement qu'elle venait de le faire pour cette fenêtre. Elle allait être traquée, chassée, poursuivie pour meurtre, impliquant avec elle des gens qui comptait à ses yeux. Elle n'avait qu'une solution : fuir, et loin.
Jusqu'à ses vingts ans, sa vie ne fut qu'existence nomade, clandestine. Avec son pouvoir et un peu d'ingéniosité, tout pouvait lui être accessible : d'une pression du doigt, elle détruisait le mécanisme d'une serrure et pouvait emmenager dans un logement abandonné, ou rentrer clandestinement dans le wagon d'un train. Elle jonglait entre des jobs qu'elle quittait au bout de deux mois, s'adaptait aux différents milieux, amassait des renseignements, et surtout, se rendait compte qu'elle n'était pas seule. D'autres personnes étaient comme elle, des fugitifs. Au gré des endroits ou elle fuyait, elle en rencontra certains par hasard, d'autres parce que leurs pouvoir permettait de l'identifier comme l'une des leurs. Mais Andrea s'était déja salie les mains par le passé, et n'hésite pas à l'heure actuelle à user de moyens peu scrupuleux s'il le faut pour obtenir ce qu'elle veut, elle n'est pas une innocente, et compte profiter de son pouvoir.
C - en fin
— Pseudo;--
— Age; 16 ans
— Pays; France
— Avatar; Jessica Alba
— Code; Valid by Dany
Dernière édition par Andrea Hernandes le Lun 15 Juin - 21:05, édité 1 fois | |
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Andrea Hernandes
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pouvoir : Aussi tranchante que du métal...
| | Sujet: Re: Andrea Hernandes - Terminééé~~ Lun 15 Juin - 21:03 | |
| Questionnaire_ destiné aux membres dôtés d'un pouvoir
— En face d'un agent du gouvernement qui vous traque, qu'est que vous faites ? Je l'égorge ?
— Pas encore découvert, vous voyez un de vos semblables enlevé. Votre réaction? Rien. Ce genre de situation est trop délicate pour avoir un comportement inconsidéré, même si je suis du genre a partir sur des impulsions.
— Si on vous propose de vous rebeller, vous vous cachez, ou vous y réfléchissez? Tout dépend de qui me le propose. Sinon, rebelle, je le suis déjà.
— Parce que votre meilleur(e) ami(e) vient accidentellement de découvrir ce dont vous êtes capable, comment l'expliquer ? Je justifie rarement mes actes.
— Un bon pouvoir doit être utilisé pour son propre intérêt ou non ? Evidemment.
— Le mystérieux Freed, vous en pensez quoi ? Rien, j'ai d'autre soucis que la véracité de son existence.
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